« J’ai toujours joué dans l’atelier de mon père quand j’étais gamin. Je regardais pas trop la télé, je jouais pas à la console. Je me fabriquais des cabanes, et j’allais à la chasse… » Evan ANTZENBERGER est coutelier. // 6 mn 09 // 2017 // Directeur de la photographie : Tangi Le Bigot. Réalisation : Thomas Rault.
Plus d’infos sur les couteaux d’EVAN : http://evanantzenberger.fr
» Le principe de la photographie, c’est un arrêt sur image ; avec le collodion, tu n’as pas cet instant décisif . L’image se fait dans la durée. » Emmanuel Ligner est photographe. Directeur de la photographie : Tangi Le Bigot. Montage : Marie Charlot. Réalisation : Thomas Rault
Julia et Greg, deux comédiens souhaitent remercier Rolla Selback, une productrice américaine pour le prix qu’elle a remis à Petit Con, court métrage dans lequel ils jouent tous les deux. Alors que Greg parle un bon anglais, Julia semble hésiter.
Pour voir la remise du prix découverte de Rolla Selback à Petit Con, c’est ici ( à 4mn 05) :
Photos réalisées au cinéma le Concorde par l’équipe de MAD COW.
Petit Con est un court métrage que je réalise en ce moment. Il sera diffusé au cinéma le concorde le mardi 13 septembre dans le cadre d’une soirée Mad Cow.
Le film est produit par OHNK.
Merci à Pierre Koller, photographe de plateau, pour les photos.
Avec les comédiens Julia Gomez et Grégory Naud
Calages de cadre
Julia Gomez – comédienne
Greg, comédien et Thomas, réalisateur
L’équipe du film
Tangi Le Bigot – chef opérateur
Sébastien Vallée – Assistant opérateur
Louise Lagabbe – Ingé son et Thierry Bohnké – producteur
Course pendant le plan séquence
Steve Marchesse – Assistant réal
Grégory Naud – comédien
Sébastien Vallée – assistant opérateur et Tangi Le Bigot – chef opérateur
Dérushage
Je découvre les joies du système Hf pour le son et l’image.
Julia Gomez – comédienne
Tom, en charge de la sécurité libère Julia, la comédienne
Article paru dans Ouest France de Basile CABILLAUD. Photo de Pierre Koller.
Les passants craignaient qu’une femme, ayant enjambé un pont à Nantes, se jette dans la Loire… Mais la suicidaire était une actrice.
Insolite
Une course folle, pont Haudaudine, au pied du CHU de Nantes. Une femme (JULIA GOMEZ), la trentaine, file à grandes enjambées, direction le sommet du pont qui surplombe la Loire. Puis enjambe la rambarde. Sous ses pieds, la Loire et ses forts courants, quelques mètres plus bas.
Jeudi et vendredi, en fin de journée, la scène a surpris plus d’un passant et automobiliste qui passaient par là. Plusieurs conducteurs interloqués ont freiné d’urgence pour aller secourir la jeune femme, prise pour une désespérée. Un ambulancier qui repartait du CHU a pris la situation très au sérieux, ne voulant pas remonter dans son camion tant que la femme n’était pas revenue sur la terre ferme…
« Bien accrochée, elle ne risquait rien »De grosses frayeurs. Sauf que la femme, suicidaire pour les passants, est une comédienne. Jeudi et vendredi, elle participait au tournage de Petit Con, un court-métrage de sept minutes, tourné en une seule prise. « L’histoire d’un homme qui annonce à sa femme qu’il a traversé la Loire à la nage », raconte Thomas Rault, le réalisateur.
La bonne prise a été réalisée vendredi soir après une dizaine d’essais. Reste à l’équipe de tournage à monter le court-métrage, produit par la société OHNK et qui sera diffusé pour la première fois le 13 septembre au cinéma Le Concorde à Nantes.
Pour les passants apeurés, le réalisateur tient à se montrer rassurant : « La comédienne était en sécurité, elle était bien accrochée et ne risquait rien. »
Du 7 au 10 avril 2016, les métiers d’art ont fait leur cinéma dans le plus grand cinéma d’art et d’essai public d’Europe, Le Méliès de Montreuil.
Le film Agnes Roze-Restauratrice de tableaux, que j’ai réalisé l’année dernière, y était nominé.
Le film n’a pas été primé. C’est un film expérimental de MIL MASCARAS qui a remporté le prix dans la catégorie du meilleur court-métrage. À noter également le prix du jury à l’unanimité pour le long métrage documentaire de Pauline de Chassey Génération Y… à l’heure du thé, et le prix contemporain pour le docufiction de Julie Nguyen Van Qi Les fantômes de l’escarlate.
Pour la première fois, j’ai été frustré du format trop court du film sur Agnes Roze. Le film dure 3 mn 30.
À l’origine, ce film était uniquement destiné à une diffusion sur le net. D’où le choix d’une forme courte et synthétique. Il s’inscrivait également dans un besoin, presque vital, de développer des projets rapidement, en parallèle des usines à gaz, que représentent souvent les long métrages. Mais, avec ces projections en festivals, je découvre le besoin d’une forme intermédiaire, (entre 10 et 15 minutes) pour pouvoir raconter un peu plus de choses tout en restant dans l’énergie. Un mélange entre une simplicité de développement (tournage de 2 jours maximum) et un peu plus de profondeur.
Formellement, je commence à vouloir goûter à une nouvelle classe de caméras. Jérome de Gerlache, réalisateur de Heart of Glass, m’a vanté les mérites de sa ARRI AMIRA ; visiblement un beau mix entre image cinéma et pratique documentaire. Pour le son, un mixage 5.1 par un professionnel pour une diffusion en salle de cinéma commence aussi à être nécessaire.
En bref, je ressors de ce festival avec une envie de passer à une nouvelle étape. Merci à toute l’équipe pour l’accueil, pour les rencontres, et qui sait, peut-être à dans 2 ans.
Suite des images que je tourne pour le film » Radicale « , documentaire sur le combat que mène Laëty pour rapprocher sourds et entendants.
Extrait du concert bilingue de Laëty, avec Radikal MC et Eddy, filmé au Ferrailleur – Nantes pour HipOpsession 2016.
Directeur de la photographie : Tangi Le Bigot.
Morceau « J’ai vu » // album » Lever l’encre » // itunes.apple.com/fr/album/lever-lencre/id985688032
Agnes Roze – restauratrice de tableaux est sélectionné au festival international du film sur les métiers d’art.
POUR SA 10E ÉDITION LE FIFMA PREND DE L’AMPLEUR ET DE NOUVEAUX QUARTIERS AU CŒUR DU GRAND PARIS !
Un anniversaire d’importance pour le Festival International du Film sur les Métiers d’Art qui décide et opère, pour l’occasion, deux changements majeurs. Rallonger sa programmation et migrer de Montpellier à l’Est parisien.
Le FIFMA s’adresse aux professionnels des métiers d’art et du cinéma mais aussi au grand public, tous âges confondus, appelés à découvrir la magie des matières, le savoir-faire des créateurs et l’univers de métiers singuliers. Portraits, documentaires, reportages, films d’animation, films expérimentaux sont au menu du festival, dont la vocation est de célébrer l’union féconde du cinéma et des métiers d’art. Une quarantaine de films seront projetés, assortis de débats et de rencontres avec les réalisateurs dans le plus grand cinéma d’art et d’essai d’Europe : le Méliès, à Montreuil.
En 2015, le cinéma a fait peau neuve et s’est doté des derniers équipements technologiques : sonorisation dernière génération, isolation phonique, définition de l’image supérieure à la HD… Toutes les conditions sont réunies pour faire vivre au spectateur une expérience inoubliable où l’émotion prime, autour des valeurs humaines que porte la création.
À vivre du 7 au 10 avril 2016au Méliès à Montreuil.